Vague désir de mémoire
Du rêve fuyant sur le sable
Parfum d’algues flottantes
La pensée s’émeut au loin
D’une déraison subtile
Oublier la douleur certaine
Que dessine l’ombre
Celle de l’effacement
Vent qui noie les larmes
Du pas orphelin
L’impossible retour
Caresse le dessein et déchire
Des plages d’histoires
Traversées par les corps
Dans des déserts marins
« La poésie peut encore sauver le monde en transformant la conscience » Lawrence Ferlinghetti
http://www.printempsdespoetes.com/index.php?rub=6&ssrub=32&page=222
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Lacafeu
Je ne peux que partager pour tous mes amis marins et mariniers
Merci
Merci Nabum,
Traverser sans cesse d’un bord à l’ autre de nos certitudes….